29.05.04
J – 1 = 29 mai
Nous y sommes presque...
Hier soir, j'ai dit au revoir à mon bureau et à mon ordinateur. Il m’est difficile d’imaginer que, les fréquentant de 6 heures du matin à des heures indues, ceci journellement, je sois parvenu à trouver l’échappatoire qui a poussé les murs, renversé les habitudes et donné corps à mon rêve.
Je suis profondément reconnaissant à Alice d’avoir non seulement accepté mon délire mais de l’avoir soutenu. Sans elle, je ne serais pas parti, de la même manière que je n’aurais jamais écrit « Genia », que je n’aurais jamais laissé vivre « CyberDodo », que je n’aurais jamais osé quitter le pays où j’étais né, etc… etc…
Si certains se réalisent dans la solitude et la tristesse, j’ai l’immense bonheur de le faire dans les yeux et le cœur des miens, je vous aime tant de tant me donner d’amour.
A la veille de la grande aventure, mon esprit vagabonde dans la forêt des belles âmes qui l’ont rendue possible. Il me serait impossible de toutes les citer, elles sont comme le ciel pour le nuage, l’indispensable tout pour ce petit rien. Je ne suis pas grand-chose dans ce cheminement millénaire mais je vous le dois…
A toi mon fils qui va marcher je veux dire que tu représentes, comme tes frères, la version exponentielle du plus fou des rêves que le petit garçon malheureux que j’étais n’aurait jamais pu faire.
Il me reste à être à la hauteur de tout ce que ces belles âmes m’ont donné et c’est le plus difficile… mais dès demain, je serai sur mon chemin des étoiles, merci !
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