10.04.06
Lundi 10 avril
Il faut un début à tout…
Résumé des kilomètres précédents, j’ai marché plus de 2'000 kilomètres – y compris la préparation –pour aller à Compostelle, sans jamais avoir la moindre cloque, le mot et surtout sa concrétisation physique m’étaient parfaitement inconnus.
Rome s’annonçait donc comme un « remake » agréable de cette première aventure, le kilométrage étant plus faible, mais…
Mes chaussures étant arrivées au bout de leur vie, j’ai dû me décider à en changer. Enchanté de mes premières compagnes, j’ai choisi leurs remplaçantes dans la même marque mais…
Si les premières avaient toujours fait dans la douceur et la compréhension pour mes petits petons, les nouvelles semblent plus inspirées par W que par le Dalaï-lama…
Il n’a pas fallu beaucoup d’heures pour qu’elles viennent à bout de mon enveloppe corporelle, 2 heures samedi avec Alice et 2 heures dimanche avec Manu. Dommage car l’une et l’autre de ses « ballades » avaient été très agréables, ici avec Manu :
Mais la gêne de samedi s’est transformée en douleur de dimanche, parce que :
Et ce matin :
Idéalement placée, chronologiquement étudiée (A 10 jours de nos 150 kilomètres à travers les Alpes avec des dénivelés splendides), cette cloque me « réjouit » car elle prouve que l’on ne sait jamais rien en matière de chemin et que l’on reste toujours un apprenti dans ses pérégrinations.
Merci pour la leçon, si j’avais eu la moindre velléité de quoi que ce soit, me voilà renvoyé à la partition la plus humble qui soit…
A demain
by Manuel at 07:48:21
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